1688 Grand Blanc

 0.00% alcool, 100% LUXE

Toujours dans un souci de perfection, j’ai souhaité offrir à la Cuvée 1688 un habillage ultra premium. Les plus luxueux des sans alcool révèlent tous leurs arômes dans une bouteille grand cru marquée d’une prestigieuse étiquette. Une élégante coiffe rubis pour le Rosé et grise anthracite pour le Blanc recouvre le bouchon liège habillé d’un muselet décoré.

L’objectif du 1688 Grand Rosé et du 1688 Grand Blanc est véritablement de concilier sans alcool et pleine saveur, tout en privilégiant des ingrédients nobles.

ALLIANCE DES METS

Cette cuvée s’appréciera lors de l’apéritif. Au cours du repas 1688 Grand Blanc sera parfait en accompagnement de viandes blanches (paillarde de veau, filet mignon, tajine de poulet…) et de poissons (sole grillée, saumon en papillote, lotte rôtie…).

LES SENSATIONS

SENSATION VISUELLE

Robe jaune aux reflets d'or

SENSATION OLFACTIVE

Élégant et racé, le nez est intense frais et complexe, aux senteurs délicates des sous-bois.

SENSATION GUSTATIVE

L'attaque est solide et la bouche acidulée avec un final légèrement musclé. Des notes de fruits blancs et jaunes comme la poire croquante et le coing soutiennent cette cuvée fluide et équilibrée. Bulles très fines et franches.

La Légende d'honoré

Paris, 1688. Un beau jour de printemps, Honoré, de son prénom, se lia d’amitié avec un vieil évêque originaire de la région de Châlons-en-Champagne. Trop usé par le temps, le vieil homme mourut quelques mois plus tard. Avant de s’éteindre, dans un dernier souffle, il murmura à l’oreille de son jeune ami la recette d’un élixir dont lui seul connaissait le secret. Embarrassé, Honoré jura par tous les saints de ne jamais la divulguer à quiconque. L’histoire ne nous dit pas ce qu’il devint, ni ce qu’il fit de ce lourd secret...

Mais une légende raconte qu’Honoré réussit à séduire la plus jolie jeune fille de son faubourg en suivant à la lettre la recette du vieil évêque. Les hommes jaloux crièrent à la sorcellerie. Un matin, las de ces persécutions incessantes, Honoré et sa bien-aimée disparurent. Personne ne les revit jamais.

C’est en 1928, durant les années folles, qu’une vieille enveloppe jaunie par le temps fut retrouvée lors de la restauration d’un vieil immeuble parisien rue du Faubourg Saint-Honoré. La lettre poussiéreuse à peine lisible décrivait avec précision une recette à base de raisin rouge et blanc sans alcool. Elle était signée Honoré. Considérée à cette époque comme sans intérêt et sans avenir, la vieille enveloppe termina dans un carton pour réapparaître en 1988 chez un bouquiniste des quais de Seine.